dimanche 25 mars 2012

Influence de l'âge dans l'attractivité et les comportements sexuels


Le blog d'OkCupid, site de rencontre américain a publié une série de données intéressantes sur l'influence de l'âge sur les rencontres et l'attractivité. A ce que j'ai pu comprendre, OkCupid était un peu vu comme le Google de site de rencontre en ligne et était principalement fréquenté par des gens éduquées et "progressif".


L'acceptation du sexe sans sentiments augmente avec l'age. Alors que seulement 55% des 18 % l'accepte, 74% des 34 ans l'accepte.


De même pour l'acceptation des parties à 3 qui passe de 29% a 40% à 35 ans.

Les fellations et cunis lingus sont pratiqués par les 3/5 des jeunes de 19 ans et par les 4/5 des trentenaires.

Alors que seulement 1/4 des 18 ans voient le sexe comme l'une de leur activité favorite, les 3/4 des quarantenaires l'accepte. Je trouve ces chiffres relativement surprenant. Je n'ai pas trop d'expérience pour les plus de 40 ans, mais le nombre de filles appréciait fortement le sexe me semblait plus élever particulièrement parmi les toutes jeunes (- de 20 ans).



Passé 18 ans, les meilleurs jours de la beauté d'une femme sont derrières elle. La vérité est moche mais réelle, avec l'age l'attractivité d'une femme ne fera que se réduire inexorablement.


On sait déjà que les femmes recherchent des hommes plus agées et les hommes des femmes plus jeunes. En conséquence la désirabilité d'une femme atteint un pic à 21 ans et décroit fortement par la suite. A contrario les hommes atteignent leur plein potentiel entre 26 et 32 ans. Tenez bon les frustrés de moins de 22 ans, dans quelques temps les rôles seront inversés.



Ce graph confirme que les hommes sont attirés par les femmes plus jeunes et beaucoup moins par les femmes plus agées qu'eux. Cette attirance pour les femmes plus jeunes augmente avec l'age des hommes.


Les femmes recherchent des hommes jusqu'à 6 ans plus âgés. Lorsqu'elles dépassent la trentaine elles commence à s'intéresser aux hommes plus jeunes qu'elles.



Finalement, pour avoir les filles de meilleure qualités ou le plus facilement, entre 24 et 34 ans lorsqu'on est un garçon il est possible d'aller taper dans les femmes un peu plus âgées entre 30 et 42 ans. Elles sont peu courtisées et sont d'accord pour rencontrer un homme bien plus jeune. La zone dangereuse des "cougars" ?

L'agonie du séducteur homme politique



1960s
Kennedy & Marilyn Monroe



1990s
Bill Clinton & Monica Lewinsky


2010s
DSK & Nafissatou Diallo


Tristane Banon et les hommes d'aujourd'hui




J'ai été agréablement surpris par un article sur les hommes d'aujourd'hui écrit par une des (très nombreuses ?) victime de viol de DSK, Tristane Banon.

Selon elle, les hommes ne sont plus des hommes, les principales raisons invoquées sont les suivantes :

- écologiste : l'écologie est typiquement féminin. C'est toujours ma mère qui achetait les produits bios, alors que mon père faisait le plein de la grosse voiture familiale et parcourait 300 000 km par an en avion. L'écologie telle qu'elle est pratiquée actuellement est un phénomène de crainte et de peur. Un homme qui est écologiste craint donc le futur et ne pense pas pouvoir y faire face. Il prend moins de risques, n'a pas confiance en lui et adopte en cela un comportement typiquement féminin.

- surveille leur ligne : de la même façon c'est toujours ma mère qui m'a dit de ne pas trop manger et mon père qui me payait les meilleures repas au restaurant. Je continue à vivre sans me soucier de ma ligne, "live fast and die young" dans l'assiette. Les hommes qui craignent de prendre du poids ont peur de l'avenir et réfléchissent trop, ils ne cèdent pas à leur pulsions et miment les comportements féminins.

- les "Tanguy" : j'avoue que ce phénomène me paraît bien plus courant chez les filles que chez les garçons. Je ne connais pas de statistiques sur ce phénomène. Mais il me semble que Tristane surestime un peu ce phénomène mais qui s'il est avéré traduit là encore une peur de l'aventure.

- les hommes ne défendent plus leur copine : sur ce point là je ne lui donne que partiellement raison. Les principales attaques dont on est victime lorsqu'on est avec sa copine vient de la part de groupes de racailles (ie : non-blancs) qui n'hésiteraient pas à sortir le couteau pour peu qu'ils soient 5 fois plus nombreux que la personne qu'ils attaquent. Nous ne sommes plus dans les années 60, ou on se battait un blanc contre un autre blanc à la loyale. Dans ces conditions là, quand tout est perdu d'avance, mieux vaut éviter la confrontation même si les racailles sont bien souvent plus grandes gueule que violente.

Elle en vient à la condition évidente, que les femmes comme les hommes ont perdu beaucoup du féminisme.