Abrogation de la loi sur le harcèlement sexuel : du bon sens mais hélas temporaire

Le conseil constitutionnel a mis fin à la loi de 1992 sur le harcèlement sexuel cette semaine. L'abrogation de la loi de 1992 a été motivée par le contenu trop vague et flou de la loi pour être interprétée de manière constante.

Les féministes et les tapettes qui nous dirigent se sont empressées de promettre une nouvelle loi sur le harcèlement sexuel. Ce n'était pas la loi de 1992 qui était floue ou vague, mais plus globalement le concept de harcèlement sexuel. Ou commence le harcèlement sexuel et ou s'arrête la séduction ? La même attitude chez un homme dominant et attractif sera vu d'un côté comme une tentative de séduction à même de faire mouiller les femmes alors que cette attitude chez le beta sera vue comme du harcèlement sexuel.

Et pourquoi limiter le harcèlement au harcèlement de type "sexuel" ? Pourquoi ne pas introduire le harcèlement "financier" ou "marketing" ? Lorsqu'une personne  faible est en permanence contactée par des vendeurs aussi bien par Internet, par téléphone, par la télévision qu'en direct, n'est-ce pas aussi une forme de harcèlement bien plus intrusif que le harcèlement sexuel ? Mais le gouvernement aujourd'hui est bien plus du côté des grandes entreprises qui vendent des crédits à 20% que du côté du peuple.

Le soit disant" harcèlement sexuel" n'arrive que rarement par hasard. Il arrive quand une femme veut utiliser ses attributs physiques et  ses atouts de séduction sans en subir les conséquences. Elle veut être flattée,  et regardée avec envie par les mâles attractifs sans subir la même attention de la part des betas. Elle veut passer du sexe d'un mâle alpha à un autre sans jamais subir le regard d'envie ou les tentatives d'un homme sans intérêts sexuel pour elle.

Et cette loi, soit-disant faîtes pour protéger les femmes des hommes politiques et puissants ne les concernera même pas. Devant un concept aussi flou, ces hommes puissants auront les moyens d'embaucher une armée d'avocats à 3 000 € la journée comme DSK l'a fait précédemment afin de ne pas être inquiétés. Non cette loi se retournera contre l'homme moyen incapable d'autant de déloyauté et d'irrationalisme que le cerveau féminin.

Mais nuls doutes qu'avec un président aussi tapettisé qu'Hollande, la nouvelle loi sera encore plus dure, restrictive et liberticide que la précédente.